Empieza como un chiste, pero no es tal: van un portugués, un alemán y un francés, y publican un sencillo que debería de convertirse en la canción del verano (ya sabéis: ritmos bailables, estructuras sencillitas, repetición hasta lo obsesivo, y frivolidad a mares) si este mundo nuestro fuera un lugar mínimamente civilizado.
Los de Toulouse no inventan nada, es verdad: lo suyo es disco del de toda la vida, al que sin embargo han sabido dar un giro de lo más fresco gracias a la aportación de una omnipresente ¡e irresistible! flauta, y la encantadora intepretación de Flore (de la banda francesa L’Impératrice), con más de un punto en común con la hoy reivindicadísima Lio. Melodrama junto al bordillo, charme sobre la pista de baile: a ver quién es capaz de no caer en las refrescantes aguas de “La Piscine“. ( Y sí, ya sé que se nota demasiado: tengo ganas de fiesta, de que acabe el invierno, de volver a nadar en el mar…)
“Je flottais les bras en croix
Avec au dessus de moi
Le soleil pour pénitence
Le coeur et les yeux fermés
A la chaleur de l’été
Et s’il m’arrivait parfois
De plonger mon regard froid
Dans l’eau bleue de tes romances
Le coeur et les poings serrés
Je te regardais couler
Tu t’avances et tu t’élances
Eclaboussant le silence
Je recule de quelques pas
Pour te voir tomber à plat
Tu t’épanches en permanence
Mon coeur à moi reste étanche
Tous les sanglots dans ta voix
Ne font que glisser sur moi
Tu déprimes
A la piscine
(x2)
A la piscine
Le soir j’entendais déjà
Les shakers sonner le glas
De tes amours de vacances
Cocktails et sourires forcés
Gravés sur papier glacé
Sous les reflets bleu maya
Je ne voyais plus que tes bras
S’enfoncer dans le silence
Plus rien ne viendra troubler
Le miroir de notre été
Tu t’avances et tu t’élances
Eclaboussant le silence
Je recule de quelques pas
Pour te voir tomber à plat
Tu t’épanches en permanence
Mon coeur à moi reste étanche
Tous les sanglots dans ta voix
Ne font que glisser sur moi
Tu déprimes
A la piscine
(x2)
A la piscine”