Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre!
L'air immense ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs!
Envolez-vous, pages tout éblouies!
Rompez, vagues! Rompez d'eaux réjouies
Ce toit tranquille où picoraient des focs!
El poema de Paul Valery, el cuadro mio, la idea del poniente que hoy se ha ido de Cadiz (post cultureta) y el culpable el escritor cubano Alejo Carpentier que la utilizó en el Siglo de las Luces.